Les habitants des deux cités stratégiquement situées à proximité des frontières avec le Sénégal et la Mauritanie craignent notamment que l'embargo annoncé par les jihadistes ne débouche sur une pénurie de denrées de première nécessité. Ils s'alarment également des conséquences que pourrait avoir un blocage des livraisons d'essence sur l'ensemble du secteur pétrolier malien.